Édition
Nouvelle parution
W. Hazlitt, Sentiment et raison (éd. J. Zanetta, préf. P Lombardo)

W. Hazlitt, Sentiment et raison (éd. J. Zanetta, préf. P Lombardo)

Publié le par Marc Escola (Source : Julien Zanetta)

William Hazlitt, Sentiment et raison,

Essais choisis, traduits et annotés par Julien Zanetta

Préface de Patrizia Lombardo

Presses Sorbonne Université,

collection "Mémoire de la critique", 2018.

EAN13 : 9791023106305.

 

Peu connu en France, William Hazlitt est l’un des plus importants essayistes en langue anglaise. Tour à tour familier, philosophe, rieur, grave ou nostalgique, le ton de Hazlitt varie constamment. L’acuité de son propos, sa culture philosophique, sa passion pour la peinture, ses réflexions sur l’humour et le spirituel font de lui un témoin fondamental du début du XIXe siècle.

Dans ce recueil, les lecteurs trouveront dix-huit essais sur des questions aussi diverses que la valeur esthétique des Marbres d’Elgin, qui venaient d'être rapportés de Grèce, sur les drames shakespeariens ou sur les grands poètes de son époque, William Wordsworth et Samuel Taylor Coleridge.

 

Sommaire

Préface, par Patrizia Lombardo

Note du traducteur

 

Première partie

Littérature

Du caractère littéraire (1813)

Du caractère de Rousseau (1816)

Othello (1817)

Macbeth (1817)

Hamlet (1817)

Le Roi Lear (1817)

Du style familier (1822)

Ma première rencontre avec les poètes (1823)

 

Seconde partie

Esthétique

 

Pourquoi les arts ne progressent-ils pas ? – Un fragment (1814)

De l’imitation (1816)

Du gusto (1816)

De l’humour et du spirituel (1819)

Des Marbres d’Elgin : L’Ilissos (1822)

Des Marbres d’Elgin – II (1822)

Du génie et du sens commun – I (1825)

Du génie et du sens commun – II (1825)

Pourquoi prend-t-on plaisir aux objets éloignés (1825)

De l’originalité (1830)

 

D’un cadran solaire (1827)

La déception (1820)

Index

 

Voir le site de l'éditeur…

*

On peut lire sur en-attendant-nadeau.fr un article sur cet ouvrage:

"L’esprit de William Hazlitt", par Pascal Engel (mis en ligne le 27 août 2019)

William Hazlitt (1778-1830) devrait être le saint patron des critiques littéraires. Ignoré de son vivant (mais connu, comme son contemporain Stendhal, de quelques happy few), on le tient à présent comment l’un des plus grands prosateurs de langue anglaise. Quelques-uns de ses essais ont été traduits récemment. La parution de ce recueil majeur de certains de ses plus beaux textes devrait le consacrer définitivement comme le plus classique des romantiques.